À Vukovar, ville de 30 000 habitants, la guerre est encore omniprésente sur les murs des maisons, sur les bancs des écoles, dans les foyers, dans toutes les têtes. Ici, Serbes et Croates vivent côte à côte tout en s’ignorant, séparés par des frontières invisibles, dans ces espaces où le chacun chez soi est la règle. Autrefois fleuron de la Yougoslavie communiste, Vukovar serait-elle aujourd’hui condamnée ?
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